Au 44e vendredi du Hirak, le premier sous l’ère de Tebboune investi hier à la tête de la présidence, les manifestants « clament » leur réponse à l’appel au dialogue et à l’investiture du nouveau président.
En effet, les premiers manifestants venus à ce 44e vendredi ne cessent de clamer « un Etat civil et non militaire », mais aussi de rejeter la prise de pouvoir par les élections du 12/12 qu’ils n’arrêtent pas dénoncer en scandant « pas de légitimité ». Ou encore « pas de dialogue » en réponse à l’appel lancé par Abdelmadjid Tebboune au lendemain de son élection.
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— Khaled Drareni (@khaleddrareni) December 20, 2019
