Le 14 août 2005, le peuple est appelé par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à se prononcer, dans le cadre d’un référendum, sur le projet de ladite Charte. Le bulletin bleu, le oui, l’emporte à plus de 97%. Le projet prend alors la force d’une loi en février 2006, après adoption par le Parlement. Le texte prend en charge plusieurs aspects du drame vécu par le peuple algérien.
L’appel à la repentance a été réitéré cette semaine par le premier ministre, Ahmed Ouyahia, expliquant que le gouvernement s’engage devant le Parlement à poursuivre la politique de la réconciliation nationale.
Cette semaine le chef du gouvernement a relancé l’appel à renoncer aux actes terroristes précisant à leurs auteurs qu’ils ont le choix de se rendre ou tomber sous la coupe de la justice.