Condamné lundi dernier à une peine de 3 ans de prison ferme assortie d’une amende de 50 000 DA, les avocats du journaliste Khaled Drareni ont fait appel au verdict jugée d’« extrêmement sévère et injuste ».
Intervenant lors d’une conférence de presse animée hier au siège de l’association SOS Disparus, la défense du journaliste (Me Zoubida Assoul et Me Abdelghani Badi) ont dénoncé la condamnation du journaliste, soulignant que les chefs d’accusation sont infondés.
Pour Me Zoubida Assoul « la justice est utilisée pour des règlements de comptes et c’est dangereux ».
Rappelant que le journaliste Khaled Drareni a été poursuivi pour « incitation à attroupement non armé » et « atteinte à l’unité nationale ». Des accusations rejetées dans le fond et dans la forme par le journaliste et sa défense.
Rédaction d’Algerie360