Suite au décès d’une jeune femme de 19 ans, une affaire qui a suscité une large polémique sur les réseaux sociaux, le parquet général près la Cour de Blida a conclu, dimanche, à une « mort naturelle ».
En effet, le parquet a affirmé que, selon les résultats obtenus, notamment de l’autopsie du corps de la défunte, la mort de la jeune femme répondant aux initiales I. A est due à « une hémorragie cérébrale » et que la victime « ne porte aucune trace de violence sur son corps ».
« Selon les informations relayées récemment sur les réseaux sociaux, concernant le décès d’une femme répondant aux initiales « I. A. », le Parquet général près la Cour de Blida précise qu’en date du 14/06/2019 aux environs de 11 : 00, les services de Sûreté de la Daïra de Bouguerra ont été notifiés de la réception de la dame susnommée au niveau de la polyclinique qui a également notifié son décès », lit-on dans le communiqué de la cellule de Communication du Parquet.
Lors de l’enquête « l’époux de la défunte, ses parents et sa belle-mère ont été auditionnés, ainsi que la responsable du service de médecine légale à l’Hopital de Frantz Fanon », ajoute la même source.
« Agissant dans le cadre de l’enquête judiciaire, le juge d’instruction près le Tribunal de Boufarik a rendu, en janvier 2020, une décision de non-lieu, confortée par la décision rendue par la Chambre d’accusation le 04/03/2020 ».
Pour rappel, la mère de la victime a déclaré dans une vidéo relayée sur les réseaux sociaux, que sa fille « lui aurait dit que son mari l’avait battue », et qu’elle « avait remarqué que son corps était rempli de bleus ».
Rédaction d’Algerie360