Le peuple répond à la décision de Gaid Salah de convoquer le corps électoral le 15 septembre et de tenir des élections présidentielle avant la fin de l’année. A Alger centre, le peuple jure de ne pas voter avant le départ du système, les manifestants scandent « je ne voterai pas avant votre départ », « wellah manvoti hetta tarahlou ».
Pourtant, dans son dernier discours Gaid Salah a estimé que le peuple algérien « revendique avec insistance et prestement la tenue des élections présidentielles ».