Le tribunal national de lutte contre les crimes liés aux technologies de l’information a prononcé une peine de 3 ans de prison ferme et une amende de 200 000 DZD à l’encontre d’Amir Boukhors, alias « Amine Dz », pour diffamation sur les réseaux sociaux.
En effet, Amir Boukhors a été jugé pour avoir publié des informations mensongères portant atteinte à la sécurité et à l’ordre public, ayant entraîné la mort de deux policiers à Naâma. Le tribunal a également désigné le représentant du Trésor public comme partie civile.
L’accusé a été jugé par contumace suite à une plainte déposée par les policiers victimes de diffamation et de calomnie sur les réseaux sociaux, causant préjudice à leur réputation.
Les antécédents judiciaires d’Amine Boukhers
En outre, il est à noter qu’Amine Boukhors fait l’objet de plusieurs condamnations par contumace dans d’autres affaires, liées à diverses accusations, suite à des enquêtes ouvertes après l’extradition de fugitifs vers les autorités algériennes.
La condamnation d’Amine Boukhors envoie un message clair sur la responsabilité et les conséquences des actes commis en ligne. Les autorités continueront de poursuivre ceux qui enfreignent la loi, même sur internet.
Pour conclure, cette affaire met en lumière l’importance pour la justice de s’adapter aux nouveaux défis posés par les technologies de l’information et des communications. La lutte contre la diffamation en ligne est essentielle pour protéger la société et maintenir l’ordre public.