De nombreux citoyens de la wilaya de Tizi Ouzou ont eu la désagréable surprise de recevoir, au cours de cette semaine, des notifications de la trésorerie communale de la ville, portant sur des arriérés d’impôts fonciers calculés avec pénalités de retard depuis le début des années 2000. Ces créances, exigées pour le compte des impôts, se chiffrent par millions de centimes. Les ménages auxquels sont destinées ces mises en demeure n’ont jamais, pour la plupart, reçu des quittances par voie postale ni le moindre avertissement ou rappel pendant ces 17 dernières années. Ces notes fortement salées sont tombées comme un couperet à la veille des élections législatives. Il faut alors imaginer la grogne des citoyens… électeurs.
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