La direction des douanes algériennes a fait savoir dans un communiqué rendu public sur sa page officielle, que les éléments de la douane de l’aéroport Rabah Bitat de Annaba ont procédé à une nouvelle saisie. En effet, cela concerne l’un des voyageurs en provenance de Paris en France.
En effet, les agents de l’inspection générale de contrôle de voyageur ont procédé à la saisie de 600 unités de parfum. Qui était avec un voyageur de la ligne Paris – Annaba. Il s’agit de ce qu’a confirmé la direction générale des douanes dans son communiqué.
Importante saisie de parfums à l’aéroport d’Annaba
Cette opération s’inscrit dans le cadre des efforts de la douane fournis par les services opérationnels de la douane. Une enquête sera lancée pour déterminer la destination de ses parfums. Mais aussi les dessous de cette opération. Ces investigations permettront de connaitre par quel moyen ce voyageur a réussi à faire passer un tel nombre de parfums de l’aéroport de Paris.
Cette opération témoigne d’un manque de vigilance de la part des contrôleurs de l’aéroport de Paris en France. Même si ces unités de parfums étaient soigneusement dissimulées dans les bagages du voyageur en question, une telle quantité ne pourra pas passer facilement du côté des contrôleurs de bagage dans cet aéroport.
Les saisies se multiplient dans les aéroports algériens
Durant la saisie estivale, les éléments de la PAF ont réussi plusieurs opérations de saisie. Et ce, dans les différents aéroports du pays. La majorité d’elles ont été enregistrées au niveau de l’aéroport international Houari Boumediene d’Alger. En effet, plusieurs tentatives ont été déjouées. Portant notamment pour le transfert illicite de devises, d’objet de valeurs, mais aussi de stupéfiants.
Pour rappel, le mois d’aout dernier, les services de la douane ont procédé à l’arrestation d’un autre voyageur. Qui a tenté de faire passer illicitement la somme de 72 500 euros, vers la Turquie. Cependant, dissimulées dans ces bagages, cette somme a été saisie et le passager en question poursuivi judiciairement pour violation de la réglementation régissant le transfert de devises de et vers l’Algérie.