L’ex-députée et présidente du Parti de l’équité et de la proclamation (PEP), Naima Salhi se retrouve souvent au cœur des polémiques, en tenant de nouveau des propos haineux et racistes. Et fait face à plusieurs plaintes déposées contre elle, mais aussi à plusieurs procès.
En effet, Naima Salhi est poursuivie dans le cadre de deux affaires, dont une concerne des propos diffamatoires et dénonciation calomnieuse à l’encontre de Mourad Amiri, un cadre en informatique au ministère de l’Intérieur.
Et c’est mercredi dernier, et après plusieurs reports, que s’est ouvert le procès dans lequel Mourad Amiri l’accuse de propos diffamatoires et dénonciation calomnieuse contre lui, au tribunal de Chéraga à Alger, dans lequel elle est poursuivie pour le chef d’inculpation d’« incitation à la haine ». Une semaine plus tard, ce même tribunal a requis une peine de 2 ans de prison ferme et 100.000 dinars d’amende contre l’ex-députée.
Nouvelle polémique pour Naima Salhi
Naima Salhi, l’ex-députée et présidente du Parti de l’équité et de la proclamation (PEP), dérape à nouveau lors du procès qui s’était ouvert, le mercredi 2 novembre 2022, au tribunal de Chéraga à Alger, dans lequel elle est poursuivie pour le chef d’inculpation d’« incitation à la haine », suite à une plainte de Mourad Amiri, ancien fonctionnaire au ministère de l’intérieur.
Faisant suite à la plaidoirie des avocats de la partie civile réclamant la requalification des faits, qui considèrent, que les actes pour lesquels Naima Salhi est poursuivie relèvent plutôt de la criminelle et non pas d’un délit, cette dernière n’a pas hésité à qualifier les avocats de la partie civile de « Zouaves ». En contre partie, ces mêmes avocats de la partie civile, ont tout de suite déposé plainte, contre l’ancienne députée de la wilaya de Boumerdès.