En ce mois de juin 2015, la cour criminelle d’Alger a eu à examiner un cas d’homicide, le clandestin a eu à répondre de l’assassinat de Rachid.
Une violente dispute éclate entre Rachid et le clandestin. Rachid insulte le clandestin; ce dernier, fou de colère, avec une barre de fer lui assène des coups mortels. Rachid décède sur le coup.
Le clandestin sera arrêté quelques heures plus tard, ce dernier avoue être l’auteur du crime.
Le jour du procès, l’accusé reconnut tous les faits retenus contre lui mais il répond que c’était la faute de Rachid. Il dira qu’il n’avait pas l’intention de le tuer.
Le représentant du ministère public dresse un violent réquisitoire contre l’accusé, l’accusé s’étais acharné sauvagement sur sa victime, il ajoute qu’il était responsable de ses actes au moment des faits ; il requiert la peine de 20 ans de réclusion criminelle en vertu des articles 254, 255, 256, 257 et 261 du code pénal.
L’avocat de la défense plaidera pour le bénéfice des circonstances atténuantes en faveur de son mandant.
Au terme des délibérations, le clandestin est condamné à 16 ans de réclusion criminelle.