Ali Haddad indique dans le quotidien économique français Les Echos: « L’Algérie renferme dans son sous-sol 20 % des réserves mondiales des terres rares » .
En ajoutant: « Ces terres rares, sont un groupe de métaux dont les propriétés sont très recherchées dans de nombreuses applications de pointe et base essentielle de l’industrie des hautes technologies« .
Pour le président du FCE, « la baisse des prix du baril de pétrole a accéléré les réformes et dopé le secteur privé». En défendant la règle 49 %, qui a été « aménagée pour certains secteurs et assouplie, permettant des pactes d’actionnaires », en affirmant que « nombre de partenaires internationaux présents en Algérie ont confirmé que cette règle n’entravait pas les investissements directs étrangers, et ont continué à investir et à développer des projets dans le pays».
Ainsi, Ali Haddad assure que « toutes les entreprises présentes en Algérie sont unanimes. Leur succès rapide a tenu à une raison principale : celle d’avoir décidé de s’installer alors que d’autres s’interrogeaient encore. »