Dans la wilaya de Mascara, les températures sont de plus en plus élevées. Les principales victimes de la canicule sont évidemment les familles modestes qui n’ont pas les moyens financiers requis pour offrir à leurs enfants des séjours, ne serait-ce que des sorties d’une journée, en bord de mer, distante de quelque 80 kilomètres de la ville. Les deux piscines municipales ne sont toujours pas ouvertes au public. Dès lors, les gens de Mascara, particulièrement les enfants et les adolescents, ne se privent pas de baignade sous les jets d’eau des carrefours mis en service par l’APC, et ce, sans considérer outre mesure les risques encourus par une exposition à des eaux potentiellement polluées.
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