Le ministre de l’Industrie a annoncé la semaine dernière que le nouveau cahier des charges devant réguler l’importation de voitures neuves sera fin prêt avant la fin du mois de janvier prochain. Ce nouveau document devra contenir 5 principales conditions.
Le nouveau document qui est actuellement sur la table du ministère de l’Industrie et qui sera publié avant la fin du mois de janvier 2022 sur le journal officiel devra porter sur la révision de plusieurs points. Il s’agit de l’expérience, du système des quotas, des services après-vente, de l’inclusion des étrangers et du nombre de marques autorisé.
Selon des sources en lien avec le dossier de l’automobile, citées par le quotidien Echorouk, le nouveau cahier des charges exigera pour les concessionnaires postulant une expérience d’au moins 5 ans dans le domaine de la vente des véhicules.
Le nouveau document devra également aborder la permission des entreprises étrangères à déposer leurs candidatures conformément à la règle de partenariat 51/49%, ce qui n’a pas été inclus dans l’actuel cahier des charges.
Système des quotas, nombre de marques et les services après-vente
Le système des quotas devra être annulé dans le nouveau document portant sur la régulation de l’opération d’imploration de voitures neuves, contrairement à ce qui a été abordé dans les anciens cahiers des charges de l’importation automobile.
Le document en phase de préparation au niveau du ministère en charge du dossier permettra également aux importateurs agréés l’importation de plusieurs marques de voitures au lieu d’une seule. Les concessionnaires agréés seront également obligés de garantir le service après-vente à travers tout le territoire national.
Cependant, il convient de noter que le gouvernement n’a pas gelé officiellement l’actuel cahier des charges. La commission technique relevant du département de l’Industrie continu toujours de recevoir les dossiers et les recours des concessionnaires, indique la même source.
Jusqu’à hier dimanche, ce Comité technique a reçu pas moins de 70 dossiers. 25 recours ont été également introduits au niveau de la commission des recours relevant de la même structure, dont les huit dossiers qui sont toujours sous réserve.