ORAN – À l’occasion de la Journée de la ville (20 février 2024), l’entreprise BELUX Éclairage et le Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) ont signé un partenariat inédit. Celui-ci vise à évaluer, puis à valoriser, l’impact de la lumière, et de l’éclairage public en particulier, sur les villes.
La conclusion de ce rapprochement entre BELUX et le CRASC a eu lieu au cours d’une journée d’étude sous le thème « Qualité de vie et compétitivité de la ville : réalité et perspectives pour les villes algériennes », que l’entreprise a organisé le mardi 20 février à l’Hôtel Royal d’Oran.
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Plusieurs architectes de renom et professeurs d’université ont donné des conférences sur la thématique de la ville algérienne et des défis auxquels elle fait face, lors de cette convention. Citons, à titre d’exemple, l’architecte-urbaniste Halim Faidi, Maha Messaouden et Srir Mohamed, tous deux enseignants à l’EPAU (Alger).
Rendre les villes algériennes plus agréables à vivre
Les débats se sont concentrés sur la façon de repenser les villes algériennes, notamment celles de l’intérieur et du Sud, qui souffrent de marginalisation, de mauvaise planification, d’une expansion urbaine incontrôlée, et de la diminution, voire l’absence, des espaces verts.
En fin de compte, les différents experts ont estimé, d’un commun accord, que les efforts des collectivités locales, des entreprises, des urbanistes, mais aussi des citoyens, doivent converger pour rendre les villes algériennes plus compétitives et plus attrayantes, qui offre un cadre de vie agréable.
Ces efforts collectifs sont d’autant plus nécessaires dans un monde qui est, d’une part, de plus en plus concurrentiel, et de l’autre, de plus en plus instable et où la gestion de l’énergie constitue un enjeu primordial depuis l’épisode du covid-19 et le déclenchement du conflit Russie-Ukraine.