Avec l’arrivée d’autres concurrents de la mère noire tels que la Russie et l’Ukraine, la France aura du mal a garder son titre de fournisseur favoris au Maghreb. Pour la France » la concurrence sera rude » estime Michel Portier, directeur général d’Agritel, la société de conseil en gestion sur les marchés agricoles.
« Les marchés historiques de la France, Maghreb en tête, se sont ouverts à d’autres fournisseurs de blé. Le Maroc et l’Algérie testent aujourd’hui d’autres origines comme la Russie, l’Ukraine, le Kazakhstan et la Roumanie, il y a vingt ans la France faisait 6,5 % du blé mondial. Aujourd’hui 5 % », Selon Me Portier la France a de « solides atouts », mais « la bagarre sera rude » a déclaré Michel Portier au quotidien français les Echos.
La France se fera-t-elle détrôner par ses nouveau concurrents qui font des progrès en, nous citons Michel Portier, « quantité et en qualité » ? Le spécialiste estime que non, la concurrence peut être « rude » mais la France à ses « atouts » parmi ceux là il cite, le climat tempéré qui lui lui garantit une production stable en qualité et en quantité, « ce qui n’est pas le cas pour la Russie et l’Ukraine. Même si ces deux pays n’en ont pas connu depuis 2012, ils sont beaucoup plus exposés à de grandes variations climatiques, à des épisodes de gel et de sécheresse » ajoute Michel Portier au quotidien français d’information Les Echos .
M.A.Y