À la fin des examens, débute l’attente des résultats et des bulletins par les parents et les élèves. Le ministre de l’Éducation nationale, Abdelhakim Belabed, a ordonné une correction collective en collaboration avec les élèves. De plus, les notes sont enregistrées sur une plateforme numérique après vérification de leur exactitude.
Les établissements éducatifs ont débuté les examens du premier trimestre la semaine dernière et ce, jusqu’au 14 décembre, suivant le calendrier des trois cycles éducatifs.
Une caractéristique remarquable cette année est l’intégration dans les examens semestriels de l’évaluation continue, notée sur 20, tenant compte du comportement des élèves en classe. Trois points sont accordés pour le comportement, les absences injustifiées et les retards, ainsi que pour la préparation et la présence du matériel nécessaire, le maintien d’un cahier organisé, la participation, le travail individuel, l’accomplissement des devoirs, et l’implication au sein du groupe.
La démarche rigoureuse du ministère pour assurer l’équité
Le processus de correction suit donc une démarche méthodique. Les directives du ministère soulignent la collaboration entre enseignants et superviseurs pour enregistrer les absences et dispenser les évaluations.
Après ajustement des moyennes, chaque section voit alors ses résultats validés lors des conseils de classe, garantissant ainsi une évaluation juste et équitable pour tous les élèves.
Ainsi, la méthodologie vise à assurer la transparence et l’équité dans l’évaluation des élèves, conformément aux instructions ministérielles pour ce semestre.