Certaines wilayas, à l’instar de Béjaïa ont exigé la présence d’une attestation de pauvreté afin de bénéficier d’une allocation de 6.000 DA à l’occasion du mois sacré. Cette allocation remplace le couffin de Ramadan que distribuait l’Etat à certains démunis, mais suites aux problèmes qu’a engendré la distribution du couffin à l’instar du trafic, le président déchu, Abdelaziz Bouteflika avait instruit en mai 2018 le gouvernement de remplacer le couffin du Ramadan par une allocation financière de 6.000 DA.Les Algériens ont considéré cette attestation comme une sorte d’humiliation.
Dans un communiqué rendu officiel, le ministère de l’Intérieur dément la présence du certificat de pauvreté ce qui contredis les propos du maire adjoint de Béjaïa, déclarés à une chaîne TV qui affirment que le document existe car il est parfois exigé par la justice, il précise néanmoins que le document n’a aucun rapport avec les allocations financières attribuées à l’occasion du mois sacré.
M.A.Y