En ce mois de juin 2015, le tribunal criminel prononce le verdict d’un homme âgé de 43 ans, accusé de vol et de meurtre sur la personne de Samira âgée de 50 ans.
En ce jour fatidique, Yazid escaladant le mur d’une maison est surpris de remarquer sa voisine Samira. Samira hurle de toutes ses forces.
Fou de rage, Yazid tire Samira par les cheveux, il lui assène 8 coups de couteau elle gît dans une mare de sang et décède sur place. S’étant assuré de sa mort, il ouvre le coffre, rafle tous les bijoux et l’argent.
Une enquête est ouverte, et quelques jours seulement après le drame, on procède à l’arrestation de Yazid qui reconnaît les faits retenu contre lui.
Durant le procès, l’accusé n’a pas nié les faits retenus contre lui mais il a déclaré qu’il avait agi sous l’effet des psychotropes.
Le représentant du ministère public met en exergue la gravité des faits et requiert une peine de 23 ans de réclusion criminelle.
L’avocat de la défense arguant que son client « n’était pas dans son état normal et ne savait donc pas ce qu’il faisait », je demande donc le requalification des faits en coups et blessures volontaire, mon client mérite de larges circonstances atténuantes.
Après de longues délibérations, la cour revient et rend son verdict : le coupable est condamné à 20 ans de réclusion criminelle.