Les corrections des épreuves du baccalauréat ont commencé, au terme de l’opération de codage des copies, de façon à les rendre anonymes. Ces épreuves ont été malheureusement marquées encore une fois par des erreurs qui ont induit les candidats en-porte-à-faux.
C’est le cas notamment pour l’épreuve de langue arabe pour les littéraires, qui ont eu la désagréable surprise de découvrir un texte du poète syrien Nizar Kebbani attribué au poète palestinien Mahmoud Drawich. C’est la raison pour laquelle la ministre à instruit les inspecteurs généraux pour exiger, à titre compensatoire, une souplesse de la part des correcteurs.
Pour rappel, la ministre de l’éducation a diligenté une enquête pour situer la responsabilité par rapport à ces erreurs qui n’ont pas manqué d’écorner la crédibilité du ministère de l’éducation. Quant aux résultats, ils sont attendus pour le 10 juillet, selon Medjadi Messeguem, directeur de cabinet, qui s’est exprimé