A l’approche du début de la prochaine coupe du monde, le comité d’organisation installe les derniers meubles pour ce qui est destiné à être le mondial le plus moderne de tous les temps.
En effet, les organisateurs du mondial du Qatar 2022 ont annoncé les identités des ambassadeurs chargés de promouvoir le dernier mondial à 32 équipes. Parmi les ambassadeurs de la coupe du monde, les instances du Qatar ont coché le nom de l’ex-international algérien, Rabah Madjer.
Une nomination que le premier intéressé se réjouit de décrocher, « je suis très honoré par cette nomination. C’est la première fois qu’un pays Arabe accueille une compétition de telle ampleur, nous nous pouvons qu’être heureux pour le Qatar. » dit-il. L’ancien joueur du club lusitanien du FC Porto a déjà participé au tirage au sort de la phase finale de cette coupe du monde.
Le défi de tout un pays
Connu pour son climat dur et peu clément, le pays de la région du Golfe a réunion à être la principale destination des sportifs du monde entier. Avec ses infrastructures dernier cri et son ouverture à la technologie et au monde moderne, le Qatar s’est libéré d’une époque où la rente pétrolière était son principal atout.
Malgré les efforts fournis par les différents responsables de l’organigramme de la coupe du monde, des voix s’élèvent pour dénoncer la manière dont sont traités les ouvriers chargés de la réalisation des travaux. Les tabloïds anglais sont, en effet, les plus farouches à critiquer la presqu’île du Qatar.