Le Président du Mouvement pour la Société et la Paix (MSP), Abderezzak Makri, s’est exprimé au sujet de la vaccination contre le Coronavirus (Covid-19) et a appelé les citoyens à se faire vacciner pour se protéger contre cette pandémie.
En marge d’une conférence de presse qui s’est tenue ce samedi, 30 janvier, le Président du Mouvement pour la Société et la Paix (MSP), Abderezzak Makri, a évoqué le sujet du vaccin contre le Coronavirus (Covid-19) et a appelé les citoyens à se faire vacciner afin de se protéger contre ce virus.
En effet, le Président du MSP a affirmé que le vaccin est important pour faire face à cette pandémie, et a souligné qu’en sa qualité de médecin, il ne peut qu’encourager les citoyens algériens à participer en masse à cette campagne de vaccination pour atteindre l’immunité.
Interrogé par les journalistes, M. Makri est revenu sur sa contamination au Coronavirus au cours du mois de juillet, et a noté qu’il a atteint une immunité naturelle suite à cette contamination, mais a souligné toutefois qu’il se fera vacciner quand-même.
Combien a coûté le premier lot du vaccin russe à l’Algérie ?
Après plusieurs semaines d’attente, l’Algérie a reçu, hier, la première cargaison de vaccins contre le Coronavirus. Acheminé depuis la Russie, ce premier lot compte 50 mille doses du vaccin Spoutnik V contre la Covid-19. Le porte-parole du Comité scientifique, Docteur Djamel Fourar, a révélé que cette première quantité de vaccins a coûté 1.5 milliards de dinars.
En marge de la réception des premières doses du vaccin russe contre le Coronavirus, le Ministre de la Communication et porte-parole officiel du Gouvernement, Ammar Belhimer, a fait savoir que l’Algérie réceptionnera ce dimanche, 31 janvier, un deuxième lot de vaccin, rajoutant qu’il s’agit du vaccin anglo-suédois AstraZeneca.
Avec la réception de ces lots, la campagne de vaccination a débuté aujourd’hui avec les personnels de la santé, les personnes âgées ainsi que les personnes atteintes de maladies chroniques, et sera répandue, dès demain, sur d’autres catégories, notamment « les corps de sécurité et de la Protection Civile, le secteur de l’enseignement, les Imams, les responsables politiques et la famille de la presse », tel que l’a expliqué le porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer.