Lorsque la pandémie du Covid-19 s’est confirmée partout dans le monde il y a plus de deux ans, plusieurs secteurs ont été touchés particulièrement celui du tourisme et des transports.
Ayant pour objectif d’endiguer la propagation du virus et de tenter d’empêcher l’importation de ses variants, les différents gouvernements ont mis en place des mesures préventives serrées et un protocole sanitaire stricte aux aéroports et aux ports, allant même jusqu’à fermer entièrement les frontières ou les rouvrir partiellement.
Ces mesures n’ont pas seulement impacté le moral des personnes contraintes de renoncer à leurs voyages et estomper à leur corps défendant l’idée de se réunir avec leurs proches, mais aussi la situation économique qui s’est dégradée suite à la fermeture ou la réduction des vols et des traversées.
Raison pour laquelle l’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les pays à lever ou du moins alléger les verrous imposés sur les voyages internationaux, estimant que ces mesures parfois drastiques ne donnent aucun résultat positif concernant la situation sanitaire, cependant, elles aggravent la situation socio-économique dans les quatre coins du monde.
Prévention est le mot d’ordre
L’organisation a expliqué dans un communiqué que l’échec d’empêcher l’importation du nouveau variant Omircon extrêmement contagieux, montre l’inefficacité de ces mesures draconiennes dans les transports et les voyages. Dans le même sillage, l’OMS a précisé que les mesures préventives et le protocole sanitaire ne devraient pas compliquer davantage la vie des voyageurs.
Quant aux conditions d’entrer, l’OMS incite les gouvernements à reconnaître tous les médicaments qu’elle a approuvés et ne pas se limiter à un pass vaccinal pour autoriser l’accès aux voyageurs.