Par M. Benboua.

Il s’agit du CRB, de l’USMH, de l’USB, du MCO, de l’ESS, de l’USMBA, du MOB, du RCK, du CAB, de la JSMB, du RCR, de l’USMB et de l’ASMO. Tout porte à croire que cette affaire de dettes s’annonce comme le nouveau feuilleton de l’été, surtout que l’on sait que les clubs algériens en général sont au bord de l’asphyxie sur le plan financier, même si cela ne les empêche pas de renforcer les rangs de leurs effectifs. A ne rien comprendre ! Ce qu’il faut retenir, c’est que ce n’est pas la première fois que la fédération brandit la menace de l’interdiction de recrutement, avant de se rétracter à chaque fois. C’est dire que cette fois encore, on risque de se diriger vers un bras de fer entre la FAF et les clubs endettés.
Ces derniers auront d’ailleurs jusqu’au 8 août prochain, soit le dernier jour du mercato estival, pour revoir à la baisse leurs dettes, au moins à hauteur d’un milliard de centimes, pour pouvoir qualifier leurs nouvelles recrues. Il n’est pas interdit de penser que la FAF accorde un délai supplémentaire à ces clubs pour qu’ils puissent assainir leur situation, d’autant que le montant global des dettes des clubs concernés est faramineux : 45 milliards de centimes, selon des responsables de la CRL.