Dans les dépôts d’Alger-centre, les vendeurs imposent des faux prix aux clients Racket en douce à l’Oncv

Dans les dépôts d’Alger-centre, les vendeurs imposent des faux prix aux clients Racket en douce à l’Oncv

“Les clients sont le bien le plus précieux des entreprises.” Cette expression économique n’est, visiblement, pas prise très au sérieux par la direction de l’Office national de la commercialisation des vins (Oncv). Et pour cause, les amoureux de Bacchus sont souvent obligés de payer le prix fort pour l’achat de leurs cépages préférés, notamment dans les deux points de vente de l’Oncv qui restent encore ouverts à Alger-Centre, où les vendeurs font la loi. Ces derniers ont trouvé la formule depuis longtemps : ils proposent, notamment, une série de cépages à 600 DA alors que leur prix, une affiche faisant foi, est fixé à 550 DA. Un racket en douce qu’ils justifient, fallacieusement, tantôt par la qualité du produit, tantôt par sa rareté.