Des milliers d’Algériens sont descendus dans les rues de la capitale, ce 52e vendredi du Hirak, pour réclamer le départ des représentants du « système » hérité du président déchu Abdelaziz Bouteflika.
Un cortège de Hirakistes a fortement battu, après la prière du vendredi, le pavé de la rue didouche mourad aux cris de « Pouvoir assassin », « État civil et non militaire », « Le peuple s’est enfin libéré », « Nous avons décidé qu’el-îssaba partira, elle partira ».