À la suite de la demande du président de la République, le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, entamera une visite de travail de deux jours à Washington, la capitale des États-Unis d’Amérique, à partir de ce mardi soir.
Selon un communiqué émanant du ministère des Affaires étrangères, cette visite est une réponse à l’invitation du secrétaire d’État américain, Antony Blinken, dans le but de renforcer la coopération économique et d’approfondir le dialogue politique entre l’Algérie et les États-Unis.
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L’objectif est de bâtir un partenariat stratégique qui réponde aux aspirations des deux parties et contribue à promouvoir la sécurité et la stabilité régionales et mondiales.
Au cours de son séjour à Washington, le ministre Ahmed Attaf est prévu de rencontrer Blinken, ainsi que des hauts responsables du département d’État américain et du Conseil de sécurité nationale.
De plus, des entretiens sont prévus avec des acteurs économiques américains, ainsi qu’avec des représentants de la communauté algérienne établie aux États-Unis.
La position des États-Unis concernant la demande d’adhésion de l’Algérie au Brics
Lors d’une conférence de presse la semaine dernière, Karine Jean-Pierre, porte-parole de la Maison-Blanche, a répondu à une question concernant l’Algérie.
En effet, lorsqu’on lui a demandé son avis sur la demande d’adhésion de l’Algérie aux BRICS et sur la position de l’administration américaine à ce sujet, la porte-parole de la Maison-Blanche expliqué le point de vue des États-Unis.
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« L’Algérie est un de nos partenaires. Comme nous l’avons répété à maintes reprises, nous ne demandons pas à nos partenaires de choisir entre les États-Unis et d’autres pays. Les États-Unis ne contraignent pas leurs partenaires et ne posent pas d’obstacles », a-t-elle expliqué.
« Les pays sont libres de choisir et de suivre les aspirations qui correspondent le mieux aux attentes de leurs citoyens », a-t-elle précisé.