La crise politique qu’a généré le soulèvement populaire a affecté les relation franco-algérienne sur le plan économique, d’après l’hebdomadaire l’Expression le « climat est tendu » entre les deux pays. «La part des produits français dans le total des importations algériennes a été divisée par deux, tombant à moins de 10% l’an passé contre près de 25% en 2004.»
Selon la même sources plusieurs accords ont été signés entre les deux pays, notamment l’accord entre Total Sonatrach, la compagnie pétrolière et gazière algérienne en 2017, Sanofi qui a lancé la plus grande usine de médicaments d’Afrique à Sidi Abdallah Ghiat pour 85 millions d’euros en 2018. Les entreprises française en Algérie dont,BNP Paribas, la Société générale, Accor, Air liquide, Lafarge, Danone et Renault, comptent 40.000 salariés, le pays est donc le premier employeur étranger en Algérie.
Toutefois la situation actuelle reste défavorable pour la France et ses investissements en Algérie, L’Express, évoque «la froideur des statistiques qui racontent une autre histoire».
M.A.Y