À l’issue de l’accomplissement de leur devoir électoral, les membres du gouvernement à leur tête le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, ainsi que d’autres responsables, ont livré des déclarations à la presse.
Le Premier ministre a déclaré que ces élections locales constituent la dernière pierre angulaire dans l’édification des institutions démocratiques en Algérie ». Selon lui, « ces élections devront donner un nouveau souffle aux collectivités locales » afin d’en finir avec « la gestion irrationnelle qu’ont connue les anciennes assemblées ».
Pour sa part, le ministre de l’Intérieur Kamel Beldjoud a affirmé que « la commune est la base et l’institution la plus proche du citoyen ». A ce propos, il ajoute que « les présidents des Assemblées communales auront plus de prérogatives afin de mener à bout leurs missions ».
Après avoir accompli son devoir électoral, le ministre de l’Industrie Ahmed Zeghdar déclare « c’est que l’édification des institutions mènera au changement » tout en appelant les citoyens à exprimer leurs voix lors de ces élections.
L’ultime étape « des réformes promises par le président de la République », selon Rezig
Le ministre du Commerce a, quant à lui, rappelé l’importance des élections du moment que cela permettra « au citoyen de choisir ceux qui le représenteront et géreront ses affaires au niveau local ». Dans ce sens, il ajoute que ces élections sont l’ultime étape « des réformes promises par le président de la République ».
Le président de l’APN Brahim Boughali déclare de son côté que « ces élections constituent une étape décisive dans l’histoire de l’Algérie. Elles s’inscrivent dans le cadre du programme que le président s’est engagé à concrétiser ».
« Nous reconnaissons que dans le passé il y a eu des erreurs de gestion, mais aujourd’hui c’est une opportunité qui doit être exploitée afin de rehausser le statut du pays et restaurer sa position, non seulement dans le domaine diplomatique, mais aussi dans l’aspect économique », a-t-il ajouté.