Certaines pratiques comme la médecine ou les actes chirurgicaux sont strictement réservés aux personnes dont c’est le métier et qui disposent d’autorisations nécessaires leur permettant de proposer ces services. Cependant, parfois l’appel du gain est trop fort et quelques personnes brisent les barrières misent en place par les autorités afin de s’autoproclamer légitimes.
Ils exercent donc illégalement, et offrent à une certaine clientèle qui ne se le permettrait pas en temps normal la possibilité d’accéder à des « soins », à la « médecine esthétique ». Certains vont même jusqu’à proposer des actes chirurgicaux.
A savoir que toutes ces pratiques nécessitent un environnement adéquat, qui n’est souvent pas présent mais surtout une expertise que ces personnes sont loin de détenir. C’est pour cela que cela est répréhensible, et que les autorités n’hésitent pas à sévir quand un cas comme celui-là est signalé.
C’est ce qui s’est passé à Batna, lorsque les autoritaires ont découvert un salon de beauté dont la propriétaire exerçait la médecine sans aucune autorisation.
Batna : les autorités appréhende la « fausse médecin ».
Comme énoncé précédemment, les autorités relatives à la wilaya de Batna ont réussi à mettre la main sur la propriétaire d’un salon de beauté qui pratiquait la médecine en noir. La femme âgée de 25 ans utilisait son local dédié à la beauté pour proposer d’autres services en parallèle, tout ça illégalement.
Sur les lieux, les forces de l’ordre ont retrouvé plusieurs ustensiles qu’elle utilisait, mais aussi des substances psychotropes. La fouille des lieux a été assez fructueuse et a donné lieu à la saisie de plusieurs éléments incriminants : un appareil pour l’augmentation des fessiers, un appareil pour les ongles, des moules d’augmentation mammaire, deux flacons pour l’anesthésie locale, 150 aiguilles chinoises, 90 seringues… etc.
Lors de la procédure liée à l’enquête, le père de femme a lui aussi été a arrêté en possession de plusieurs balles.
Bien évidemment, la femme devra répondre de ses actes auprès de la justice.