Selon Djamel Benlamri, Riyad Mahrez est le meilleur joueur Arabe. Il a fait d’autres confidences dans une interview flash accordée à la page facebook officiel de son club, Al-Khaleej Saihat.
Après un court passage en championnat qatari avec le Qatar SC, Djamel Benlamri a décidé de revenir en Arabie-Saoudite pour rebondir. Il a opté pour Al-Khaleej Saihat le mois de juillet dernier. Une nouvelle expérience sur laquelle il mise beaucoup afin de relancer sa carrière et retrouver sa place en sélection.
Le défenseur international se prépare avec sa nouvelle équipe. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est en train de cravacher dur. Il a à cœur de débuter la nouvelle saison comme titulaire et d’enchaîner ainsi les matchs en championnat saoudien. Ce sera la meilleure façon pour convaincre le sélectionneur national Djamel Belmadi.
À noter que c’est à partir du 25 août prochain que le championnat saoudien reprendra ses droits. Al-Khaleej Saihat accueillera à l’occasion Al-Hilal.
Benlamri : « Riyad est le meilleur joueur Arabe »
Djamel Benlamri a accordé une interview flash à la page facebook officiel de son club pensionnaire. Pour lui, Riyad Mahrez est le meilleur joueur Arabe.
« Riyad Mahrez est incontestablement le meilleur joueur Arabe. Je l’ai côtoyé en sélection pendant plusieurs années, c’est du talent à l’état pur ». Dira-t-il.
Le défenseur de la sélection nationale n’a certainement pas oublié la finale de la CAN-2019 face au Sénégal. « C’est le meilleur match de toute ma carrière. Un très beau souvenir qui restera à jamais gravé dans ma mémoire ». Un match remporté par les Verts par la plus petite des marges, synonyme de consécration.
L’enfant d’El-Harrach a certainement son joueur préféré sur le niveau international. Entre Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, il dira : « Ce sont tous les deux de grands footballeurs. Mais personnellement, je préfère Messi. Je pense que plusieurs amoureux du ballon rond dans le monde l’admirent ».
Enfin, il parle du meilleur commentateur sportif arabe. « C’est Hafid Derradji. Je crois que c’est le cas pour la plupart des Algériens ».