Notre interlocuteur ajoute qu’ils sont détenus pendant deux mois avant d’être libérés et se mettre ensuite à chercher du job. Néanmoins, ils réaliseront que les autorités ibériques ont signé des décisions portant leur rapatriement vers leurs pays d’origine.
«Nombreux sont les migrants qui affluent vers l’Espagne dans l’espérance d’améliorer leurs conditions de vie. Cependant, ils sont renvoyés vers leurs pays sans autant pouvoir bénéficier d’opportunité de réaliser leurs rêves», poursuit-il.
Il indique également que de nombreuses associations de défense des droits des migrants en Espagne interpellent les autorités algériennes à donner de la chance à cette frange pour pouvoir régulariser leur situation vis-à-vis des autorités ibériques.
Début novembre dernier, des dizaines de «harraga» algériens ont contesté et demandé au gouvernement espagnol de leur assurer une prise en charge, de leur offrir de la nourriture et de l’eau.