L’espérance de vie de la population en Algérie a connu une nette amélioration ces dernières années.
En effet, selon Docteure Djamila Nadir, vice-ministre chargée des maladies non transmissibles au sein du ministère de la Santé et de la Population et de la Réforme hospitalière, l’espérance de vie des hommes est aujourd’hui de 77 ans, contre 78 ans pour les femmes en Algérie. Ces chiffres sont très éloignés de ceux enregistrés lors de l’indépendance, où l’espérance de vie moyenne était d’à peine 52 ans.
De plus, la docteure révèle aussi que le taux de mortalité maternelle et infantile a également considérablement diminué depuis l’indépendance. En effet, les décès de mères après l’accouchement ont été réduits, passant de 300 décès pour 100 000 naissances à seulement 48 décès actuellement. Quant au nombre d’enfants décédés, il a également connu une baisse significative, passant de 120 décès pour 100 000 enfants nés à seulement 25 décès à l’heure actuelle.
Lutte contre le diabète en constante progression en Algérie
La docteure Nadir a également abordé le problème du diabète en Algérie, une maladie en constante progression. Le nombre de personnes atteintes de diabète atteint près de quatre millions, dont des enfants et des personnes âgées.
Pour faire face à cette situation, les autorités sanitaires algériennes mettent à disposition des ressources et des moyens pour assurer la prise en charge des patients. La stratégie adoptée s’appuie notamment sur les unités de base primaires et leur renforcement par des compétences spécifiques.
De plus, elle salut aussi le fait que le gouvernement algérien a réalisé d’importants efforts pour former des médecins et construire des hôpitaux. Ces mesures sont essentielles pour améliorer la qualité des soins et l’accès aux services de santé pour l’ensemble de la population.
La formation des médecins et la construction d’hôpitaux favorisent l’espérance de vie en Algérie
La formation des médecins et la construction d’hôpitaux contribuent à la lutte contre les maladies et favorisent l’amélioration de l’espérance de vie.
En outre, la vaccination en Algérie a réussi à éradiquer plusieurs maladies, et ce grâce à une politique de vaccination efficace. Le taux de vaccination chez les enfants dépasse désormais 95%, ce qui a permis de réduire considérablement la propagation des maladies transmissibles et non transmissibles.
Cependant, il est nécessaire de mettre en place d’autres stratégies pour évaluer les résultats, identifier les lacunes et tirer les leçons qui s’imposent.
Pour conclure, l’amélioration de l’espérance de vie en Algérie est le fruit des efforts conjugués du gouvernement, des professionnels de la santé et des citoyens. Les progrès réalisés en matière de