Le ministre indien des Affaires étrangères, Vinay Kwatra, a évoqué aujourd’hui lors d’une déclaration que l’Inde avait adopté une approche constructive et ouverte en ce qui concerne l’expansion du groupe de nations BRICS.
Cette affirmation intervient dans le contexte des préparatifs en vue du prochain sommet du bloc, rassemblant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, prévu à Johannesburg du 22 au 24 août, et auquel le premier ministre indien Narendra Modi devrait assister.
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L’annonce du MAE met en évidence l’engagement de l’Inde à participer aux discussions entourant l’extension potentielle des membres du BRICS. « Nous abordons ces pourparlers avec une attitude d’ouverture et de positivité. Nous ne souhaitons pas anticiper les résultats des délibérations concernant l’expansion du groupe BRICS », a-t-il souligné.
Cette déclaration a une signification particulière en préparation de la réunion imminente, qui sera un événement en personne et marquera la première rencontre des dirigeants des BRICS depuis 2019.
Une nouvelle prometteuse pour l’Algérie ?
L’expansion du groupe constituera sans aucun doute une question centrale à l’ordre du jour. Les pays membres exploreront les avantages potentiels de l’inclusion de nouvelles nations et les implications que cela pourrait avoir sur la dynamique du groupe, son influence mondiale et ses objectifs communs.
Le président Abdelmadjid Tebboune, avait affirmé que l’Algérie avait officiellement demandé à rejoindre la Nouvelle Banque de développement des BRICS avec une première contribution de 1,5 milliard de dollars.
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Il avait souligné que l’adhésion de l’Algérie au groupe composé de cinq pays émergents « ouvrait de nouvelles perspectives économiques« . Il a rappelé que « l’Algérie avait œuvré depuis des années, aux côtés de la Chine, pour un monde meilleur et plus équitable où des aides sont accordées aux pays pauvres ».