Un article du journal Américain « The Emory Wheel », publié par le journaliste Michelle Lou révèle qu’une « chercheuse américaine, a été placé en garde à vue par la police Algérienne, pour motif d’espionnage ».
Isabella Alexander, professeur assistante en Anthropologie, préparait un projet d’étude portant sur le thème de « la crise migratoire frappant l’Europe, et les pays voisins », en l’occurrence le Mali, L’Algérie et le Maroc. De ce fait, la « chercheuse » devait collecter les informations requises à son projet anthropologique qui vise entre autres à « étudier les groupes humains ! ».
Ne possédant pas de permis octroyé par les autorités Algérienne, la chercheuse a préféré entamer son étude sans l’accord des autorités. Par ailleurs, la police Algérienne a vite été alertée du « comportement » suspicieux de la jeune dame. Juste après, la police Algérienne a arrêté la chercheuse Américaine pour « tentative d’espionnage », et l’ont placé directement en garde à vue.
Après 24h d’investigations et d’interrogatoire, la police Algérienne, ont jugé que la jeune femme ne représente aucun danger contre la stabilité du pays, mais aussi, et surtout, qu’elle n’est pas une espionne ! Cependant, par mesure de sécurité, la police Algérienne a supprimé toutes les photos, et les informations qu’elle a pu collecter durant son séjour. Par la suite, ils lui ont accordé le droit de contacté sa famille, qui à leur tour, ont contacté l’ambassade des Etats-Unis.
D.M