Un drame épouvantable a frappé l la wilaya de Mostaganem, où Nawel Cherifa Toubache, âgée de 30 ans, a trouvé la mort le 21 janvier 2024, aux mains de son ex-mari, après une série de menaces graves. La victime, qui était mère d’un jeune enfant, travaillait en tant que professeure intérimaire au département de génie architectural à l’Université de l’Ingénierie de la wilaya de Mostaganem.
Selon des sources locales proches de la victime, l’agresseur, dont elle avait divorcé il y a quelques mois, la menaçait de mort de manière récurrente. Malgré ses tentatives pour se tourner vers la police et déposer plainte, les menaces persistaient, la contraignant à installer des caméras de surveillance chez ses parents où elle résidait après le divorce.
Le jour du drame, l’agresseur a pénétré dans le domicile de la famille de la victime et l’a tuée à l’aide d’un couteau et d’un marteau, avant de mettre le feu, causant la mort du petit enfant étouffé par la fumée.
La vie de Nawal et de son enfant s’est ainsi tragiquement terminée, soulevant des questions cruciales sur l’efficacité du système judiciaire pour protéger les femmes contre les violences conjugales et pour leur fournir le soutien nécessaire dans de telles situations.
Mère de 3 enfants, son marie la tua après une infidélité
Dans un sinistre événement survenu dans la wilaya de Boumerdès, une femme âgée de 32 ans, mère de trois enfants, a été tuée par son mari avec la complicité de membres de sa famille, qui l’ont accusée de suicide.
Selon le rapport médical, la victime a été agressée à l’aide d’un objet tranchant à la tête et a également subi un choc après être tombée sur celle-ci, entraînant son décès.
Les autorités de sécurité ont ouvert une enquête sur l’incident et il est apparu que le crime a eu lieu après que le mari a découvert l’infidélité de sa femme avec un autre homme.
Cette tragédie horrible reflète un schéma alarmant de violence domestique et la cruauté des circonstances auxquelles de nombreuses personnes sont confrontées, soulignant le besoin urgent d’une meilleure protection pour les femmes en danger et d’une plus grande sévérité des sanctions contre les crimes violents à leur encontre.