La semaine dernière, la 40e édition de la fête de la musique s’est tenue à Bordeaux. En effet, les habitants des quartiers de cette ville ont profité d’un ensemble de concerts, animations musicales et ateliers en cette occasion. Cependant, tout le monde le sait, ce genre d’évènement est toujours une scène de plusieurs agressions.
En effet, c’est ce qui s’est passé dans la soirée du mardi 21 juin dernier, où deux adolescentes ont été victimes. Alors que celles-ci ont rejoint la fête pour célébrer leur prochain anniversaire, les deux adolescentes ont été surprises d’être agressées sexuellement.
Les faits se sont déroulés au moment où les deux adolescentes s’apprêtent à danser sur la scène. Un homme âgé d’une vingtaine d’années s’approchait d’elles en tentant de les agresser. Paniquées, les deux filles, ont prévenu les CRS présents sur les lieux.
Après avoir tracé le portrait de l’agresseur, à l’aide des descriptions établies par les deux bordelaises; les agents de la CRS ont alerté la police de la région. Ces derniers ont procédé à l’arrestation de cet agresseur au niveau de Bourgogne.
Devant la justice l’agresseur démenti les accusations
Par ailleurs, l’enquête a dévoilé l’identité de ce présumé. Il est question d’un Algérien en situation irrégulière sur le territoire français. Devant la justice, ce sans papier a démenti toutes les accusations qui lui sont infligées. De même, celui-ci continue même par nier sa présence dans cette fête.
Cependant, lors de ce procès, passé le 24 juin dernier, et face à la version racontée par le suspect, les services judiciaires chargés de cette affaire ont fait appel à une vidéosurveillance enregistrée sur les lieux, au moment de l’agression. Poussant, ainsi, ce sans papier à avouer une partie de la vérité, tout en insistant sur le fait que tout est causé par une bousculade; et qu’il n’avait pas l’intention d’agresser les deux adolescentes.
Visiblement pas convaincu, le tribunal chargé de cette affaire, a prononcé dix huit mois d’emprisonnement. dont huit fermes.
Un Algérien risque la prison à Brest
Le 21 juin dernier, un algérien a fait l’objet d’une arrestation à Brest. Et ce, pour une affaire de vol d’un Polo qui coûte environ 130 euros. Arrivant sur les lieux, les force de l’ordre ont procédé à son arrestation alors qu’il était en état d’ivresse.
Au poste de police, l’enquête a dévoilé que cet Algérien de 25 ans, dispose déjà d’une obligation de quitter le territoire Français. Cependant, ce n’est que pour le 25 octobre 2022 que ce mis en cause passera devant le juge.