Deux hommes ont été arrêtés par la police municipale et mis en garde à vue lundi 4 avril 2022 à Nice (Alpes-Maritimes). En effet, ces derniers sont suspectés d’avoir agressé devant un arrêt de tramway deux agents de Lignes d’Azur, le réseau de transport local.
Dans la matinée, vers 8h20, les événements se sont produits. Cette agression est survenue lors d’un contrôle mené par les agents. Un des agents a été blessé à la main à la suite à un coup de tournevis pendant que son collègue recevait des coups de pied et de poing. Légèrement blessé, l’agent victime du coup de tournevis a été évacué à l’hôpital grâce aux pompiers.
Les deux hommes agresseurs, d’origine algérienne, se trouvent en situation illégale. Ils faisaient l’objet d’une obligation de quitter le territoire. Devant la cour, les intéressés ont expliqué que leur arrivée à Nice datait de dix jours. Ils ont déclaré gagner environ 700 euros, au noir, en effectuant des travaux d’électricité et de maçonnerie. Ils ne pouvaient pas justifier de la possession d’un lieu de résidence, facteur qui a joué dans la balance dans la décision de les emprisonner ou non pendant leur procès. Se présentant comme célibataires, sans enfants, ils ont précisé qu’ils avaient cinq frères en Algérie.
Cette audition n’avait pas pour but de détailler l’affaire, mais plutôt d’examiner leur personnalité pour décider de les placer ou non en détention. Sur décision du tribunal, ils resteront incarcérés et leur procès aura lieu en mai 2022.
Encore des Algériens en situation irrégulière faisant preuve d’agressivité et de violence
Les faits datent du jeudi 3 février 2022, alors que les policiers de la commune de Longlaville, sise dans le département de Meurthe-et-Moselle, sont à la recherche d’un individu ayant agressé une grand-mère qui était accompagnée de sa petite-fille, et dont l’agresseur a volé le sac à main de la vieille dame au milieu de la rue.
Le coupable n’est autre qu’un jeune Algérien, d’une vingtaine d’années, qui a gagné le territoire français, selon lui, en passant illégalement la mer, il y a un an.
Après avoir réussi à saisir le sac à main de la dame, à laquelle il a asséné quelques coups de tête, le harraga algérien a pris la fuite. Aussitôt, des témoins de la scène ont essayé de le poursuivre, sans succès. Alertées, les quatre patrouilles de police se sont mises à sa recherche et l’une d’entre elles est parvenue à localiser le fugitif au sein d’une maison.
Au cours de son interrogatoire, le jeune harraga algérien reconnu par de nombreux témoins a affirmé à la police qu’il ne se souvenait plus de rien, en raison de l’alcool et des drogues consommés. En ce qui concerne les bijoux découverts dans sa veste, le jeune algérien a affirmé à la police les avoir achetés à Paris, dans le quartier de Barbès.