La chambre de l’instruction de la cour d’appel de l’Hérault, à Montpellier, a confirmé hier, mardi 07 septembre, son ordonnance de rejet de remise en liberté de l’agresseur présumé du cinéaste Alain Françon.
En effet, l’affaire remonte au 17 mars dernier, où un récidiviste, d’origine Algérienne, a été accusé d’être impliqué dans une affaire d’agression avec une arme blanche, à Hérault dans la ville de Montpellier.
Dans des circonstances floues et mystérieuses, l’homme de théâtre français, Alain Françon en l’occurrence, avait été grièvement blessé à l’arme blanche au niveau du cou par le récidiviste susmentionné.
Après enquête, les autorités françaises ont réussi à arrêter le présumé auteur de l’agression, le lendemain de son crime.
Le suspect reste en prison
Hier, l’ordonnance de rejet de remise en liberté prononcé le 11 août dernier par le juge des libertés et de la détention à l’encontre de l’Algérien, dénommé Mohammed K, présumé auteur d’agression, a été confirmée par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de l’Hérault.
Cette affaire avait engendré un trouble public considérable, où le trentenaire Algérien, accusé d’être impliqué dans le crime, a fait l’objet de plusieurs affaires, dont une tentative de meurtre le 12 avril dernier.
Le mis en cause, au casier judiciaire faisant état de 19 condamnations, lui est reproché d’avoir violemment blessé au cou et sans raisons précise, un metteur en scène français, avant de prendre la fuite. Notons que la victime se baladait, le jour de l’incident, tranquillement dans la rue de l’Ancien-Courrier à Montpellier.
Il est également utile d’indiquer que « la chambre de l’instruction a suivi les réquisitions de l’avocat général qui avait pointé du doigt l’absence de garantie de représentation et les risques de réitération des faits », rapporte le journal Midi Libre.