Il n’est secret pour personne que beaucoup de jeunes étudiants algériens, désirent poursuivre leurs études universitaires à l’étranger, notamment en France.
Une fois le visa accordé, ces jeunes ambitieux se retrouvent confronter à un nouveau défi, et ce, lors de leur arrivée en France. En effet, les étudiants algériens devront faire face aux frais d’inscriptions à l’Université, les coûts du loyer ainsi que les frais de leur vie quotidienne.
Dans ce contexte, une enquête a été menée par le syndicat étudiant UNEF, le 15 août de l’année en cours, qui a révélé que le coût de la vie étudiante en France est en hausse. La même source a ajouté que ce dernier va augmenter à la rentrée 2021.
La source a également fait savoir que durant cette année universitaire, 2021 – 2022, le coût de la vie étudiante des Algériens inscrits dans les universités françaises va connaitre une hausse de 2,5 % en comparant à l’année passée.
Quels sont les problèmes des étudiants algériens non boursiers ?
Par ailleurs, ces étudiants algériens non boursiers sont confrontés à la cherté des frais d’inscriptions. Ils devront payer 16 fois plus que leurs homologues européens pour pourvoir étuidier à même université française.
En fait, une nouvelle réforme a été validée par le Conseil d’État qui indique que les étudiants des pays non membres de l’Union européenne, à savoir les Algériens, les Tunisiens et autres, doivent s’acquitter de frais d’inscription de 2770 euros en licence et de 3770 euros en master, contre respectivement 170 et 243 euros pour les étudiants européens.
Face à cette situation, l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) recommande d’élargir la bourse, étendre le nombre des bénéficiaires et intégrer les étudiants étrangers. Ainsi, l’Union demande » une allocation d’autonomie pour chaque jeune en formation, sans condition de ressources « .