Un meurtre est très dur pour la famille de la victime dg encore plus quand celui là n’a pas d’issue et que le responsable n’a pas payé sa dette. Certaines affaires judiciaires traînent, et ne sont pas résolues et ce malgré les années qui passent.
Cette affaire est celle du jeune Mohamed Abdelhadi, un jeune homme d’origine algérienne assassiné en France il y a 21 ans. Ce qui sort du commun, c’est que les responsables de cet acte cruel ont avoué les faits mais restent impunis, et pour cause le délai de prescription.
En effet, lorsque le corps de la victime a été retrouvé, nous étions déjà en 2016 et le délai était déjà dépassé.
Dans la loi, quand un événement de la sorte remonte à la surface en dépassant ce délai il n’est plus possible de mettre la condamnation à exécution.
De ce fait, malgré les aveux des responsables, la famille ne pourra pas voir les meurtriers du jeune Mohamed derrière les barreaux.
La famille de la victime retrouve une lueur d’espoir
Il faut savoir que les meurtriers ont avoué le crime. Un père et ses deux fils se sont désignés comme étant les auteurs de cet actes, mais ils n’ont pas été condamnés. Le corps a bel et bien été retrouvé en 2016, et le meurtre commi en 2001 mais un élément s’ajoute à l’affaire ; la famille a porté plainte en 2008 pour « disparition inquiétante ».
Ce dernier élément aurait pu faire repousser la date du délai de prescription, mais « le dossier a été égaré ».
La famille de Mohamed n’a pas accepté la situation, et des dizaines d’années plus tard. Dans un premier temps, elle a pris l’initiative de poursuivre l’Etat français devant la cour européenne.
De ce fait, l’Etat français a reconnu de devant la cour européenne des droits de l’homme la violation de sa convention. Cet « aveux » pourraient donner une nouvelle chance à la famille, et lui permettre de saisir la cour de cassation.