La criminalité en France est un réel problème de société. Que ce soit pour de petits délits ou des affaires plus importantes, les Algériens sont souvent au cœur des histoires.
Cette fois-ci, c’est un jeune homme d’origine algérienne, âgé de 31 ans et prénommé Samir, qui fait l’état d’une OQTF à Vienne. Depuis janvier 2022, il est accusé d’agressions sexuelles.
Selon Centre Presse, l’employé pour l’entreprise Ubereats est accusé par trois personnes différentes.
C’est grâce à la dernière victime, un jeune homme de 22 ans, que le lien a été fait.
Celui-ci s’est fait agressé sexuellement le 1er juin après que l’Algérien l’ait suivi à scooter. Suite aux attouchements, le jeune homme a réussi à s’échapper. Il a tout de suite porté plainte, ce qui a permis aux autorités de faire le lien avec deux autres affaires qui concernent des mineurs.
La seconde affaire concerne elle aussi un jeune homme de 17 ans, et se serait déroulée une dizaine de jours avant. L’agression s’est passée cette fois-ci dans une salle de sport.
Quant à la dernière victime, elle est aussi mineure. Il s’agit d’une jeune femme qui s’est faite agressée à Vienne. L’homme s’est permis de lui toucher les cuisses puis les parties intimes avant que la fille ne le gifle et se mette à crier. Prenant peur, il est tout de suite parti.
Le verdict tombe pour l’Algérien
Samir nie les faits, et malgré toutes ces accusations il campe sur ses positions. Il a comparu ce mercredi 13 juillet 2022 avec l’aide d’un interprète. Durant sa comparution il a affirmé ne jamais avoir fait de « problèmes sexuels » que ce soit en France ou en Algérie.
Selon la même source, l’expert psychiatrique qualifie le « trentenaire qui vit de prostitution » comme étant assez saint d’esprit. Aucun trouble psychiatrique n’est donc responsable de ces agissements.
Le verdict tombe, et le jeune algérien est condamné à dix mois de prison avec maintien en détention en plus des 2 000 euros de préjudice moral à l’une des victimes.
Compte tenu des actes commis et de leur gravité, il a interdiction d’exercer une activité au contact de mineurs durant cinq ans.