Un ressortissant Algérien a écopé d’une peine de 30 mois de prison, dont six sont fermes, et d’une interdiction d’entrée en territoire français pour une période de cinq ans, et pour cause, des menaces qu’il aurait proféré contre sa femme, une citoyenne Française.
La justice Française ne badine pas avec les violences, même verbales, faites aux femmes, surtout si cela permet d’expulser un migrant de trop. En effet, un ressortissant Algérien, a payé cher son entêtement à vouloir récupérer la garde de ses enfants. Cependant, il faut admettre qu’il est allé trop loin, en menaçant sa femme de mort, ce qui est d’ailleurs un non-événement en Algérie.
Il lui a donné le choix entre la garde des enfants et la mort
Le ressortissant Algérien, qui vit entre la France, l’Algérie et l’Espagne, n’a pas hésité à recourir aux menaces et aux intimidations contre sa femme, à laquelle une affaire en justice l’oppose, une affaire traitée par le tribunal de Nîmes dans le sud de la France, comme cela est rapporté par le journal Français Midi Libre.
Toujours selon la même source, cet Algérien, aurait dit à sa femme : « Si je ne peux avoir les enfants, je vais te tuer ». Le mis en cause aurait même donné des détails sur la manière avec laquelle il comptait le faire : « Je vais t’égorger », lui aurait-il également confié. Des menaces qui auraient pu se concrétiser, vu que l’accusé n’a pas hésité à s’en prendre à sa femme en plein rue.
En effet, alors que la femme marchait dans la rue avec ses enfants, le mis en cause l’aurait approché et aurait essayé de prendre de force les gosses. Ces derniers étaient choqués par le comportement irresponsable de leur père. Suite à des cris de détresse, des passants sont intervenus. La femme a fini par déposer plainte.
Devant le juge, le ressortissant Algérien nie en bloc les accusations de sa femme. « Tout cela, c’est faux. Elle invente. Mes trois enfants veulent venir avec moi ». Mais le juge n’a pas été de cet avis, il prononce contre le mis en cause une peine de 30 mois de prison, accompagnée d’une interdiction d’entrée en territoire français pendant cinq ans. Le ressortissant Algérien ne verra plus ses enfants pendant un bon bout de temps, et il sera forcé de quitter la France à sa sortie de prison.