Dans le monde, une femme sur trois est victime de violence. Les chiffres alarmants de l’OMS témoignent d’une terrible omniprésence de violence dans la vie quotidienne des femmes, y compris en France. Parmi les formes les plus courantes de cette dernière, l’agression sexuelle.
Dans ce sillage, la nuit du samedi au dimanche 7 août dernier, une femme âgée de 27 ans de nationalité américaine a été sexuellement agressée dans des toilettes publiques qui se trouvent aux environ de l’Hôtel de Ville et de Notre Damme de Paris.
Une ressortissante américaine agressée sexuellement par un sans papiers algérien
En effet, vers les alentours de 1h30 du dimanche dernier. Un homme en état d’ivresse a saisi le moment ou l’Américaine est entrée dans ces toilettes publiques pour l’agresser. Par ailleurs, inquiet du retard fait par la victime, son ami est aller à sa recherche et la découvre en train d’être violée derrière la porte.
Cependant, les agents de sécurité ont réussi à arrêter l’agresseur qui a pris la fuite immédiatement. Alertés, les forces de l’ordre ont procédé à l’arrestation de ce mis en cause et ont lancé une enquête pour viol de personne en état d’ivresse. Et ce, dans le but de connaitre davantage sur les circonstances de cette agression.
Par ailleurs, les investigations ont révélé l’identité de l’agresseur. Originaire d’Algérie, le prévenu est un sans papiers de 23 ans, qui était en état d’ivresse la nuit de l’agression. Dans l’attente de son procès, celui-ci a été mis en détention provisoire.
Une mutinerie éclate dans un centre de rétention à Paris
Le même weekend, soit le soir du samedi dernier. Une mutinerie a éclaté dans un centre de rétention administrative des étrangers en situation irrégulière. Et qui a nécessité l’intervention d’une cinquantaine de policiers. En effet, les détenus de ce centre ont profité du calme de cette nuit pour semer le chaos dans cet établissement. Pour rappel, cette structure se trouve près de l’aéroport de Roissy à Paris.
Alors que les agents de sécurité de ce centre de rétention administrative se cachaient dans un endroit sûr. Les forces de l’ordre ont réussi à calmer la situation et ont empêché la fuite de quelques détenus. Qui, ont tenté de grimper sur les toits des bâtiments.
Ainsi, une trentaine de retenus ont été arrêté pour avoir déclenché le feu au centre et semer le chaos. Les investigations sont toujours en cours.