En l’espace de 24h, l’Algérie perd deux grands noms de cinéma. Après le décès du comédien et homme de théâtre, Arezki Rabah, dit Abou Djamel, dans la nuit du jeudi à vendredi, voici que l’on apprend la disparition d’un autre monument du milieu artistique, à savoir le célèbre réalisateur Hadj Rahim, père de la « Caméra Cachée » en Algérie des années 1970, mais pas seulement…
Hadj rahim a également été le réalisateur de plusieurs films dont ceux de L’inspecteur Tahar.
L’information nous a été confirmée par le ministère de la Culture. Ce dernier ainsi que la Radio Algérienne présentent à la famille du défunt ainsi qu’à l’ensemble de sa famille artistique leurs sincères condoléances.
La levée du coprs aura lieu ce samedi après salat Edohr, à partir du domicile familial sis à Chemin Pouillane au Telemly.