Les derniers chiffres dévoilés par le ministère de la Justice en France ont fait part d’une augmentation du nombre de ressortissants algériens dans les prisons françaises. En effet, ils sont au nombre de 3974 détenus présents dans les établissements pénitentiaires.
Par ailleurs, ce chiffre reflète l’implication de nombreux ressortissants algériens dans des affaires douteuses, voire grave et criminelle. C’est le cas de Mohamed K, comparu devant les assises d’Hérault, pour tentative de meurtre. Ce dernier, est un ressortissant algérien âgé aujourd’hui de 33 ans qui a tenté d’égorger un septuagénaire.
Sa victime ? n’est personne d’autre que le metteur en scène du théâtre Alain Françons. Les faits remonte au mois de mars 2021, à Montpellier. Notamment près de l’hôtel où il résidait. La victime a été doublée par un inconnu, dans la rue, qui l’avait bousculé et a tenté de l’égorger, par le biais d’une arme blanche, avant de poursuivre son chemin à vive allure.
Agression du metteur en scène Alain Françon : un Algérien condamné en France
Des passants, dont deux employés de la pharmacie de la région, sont intervenus pour sauver la vie d’Alain Françon et appeler les secours. Suite à ces grave blessures, la victime a été transférée, dans l’urgence, vers l’hôpital le plus proche.
Par ailleurs, une enquête a été lancée et grâce à l’exploitation des images de vidéosurveillance, l’agresseur de ce septuagénaire a été identifié et arrêté. Connu par les services judiciaires pour des affaires de stupéfiants, l’Algérien en question a très vite reconnu le crime. En effet, pour se justifier, l’agresseur en question, a expliqué qu’il était énervé parce que Alain Françon l’aurait mal regardé.
25 ans de réclusion criminelle pour l’Algérien
L’Algérien en question est passé, une nouvelle fois devant la cour d’assise d’Hérault, le mercredi 7 décembre dernier. Lors de cette audience, la victime a raconté que depuis sa sortie de l’hôpital. Il n’ose plus circuler dans le métro ou dans les rues et redoute le moindre geste derrière lui.
De leur côté, les juges n’ont pas retenu l’altération mentale établie par l’expertise psychiatrique, et ont prononcé 25 ans de réclusion criminelle pour cet Algérien. L’avocat général a réclamé 30 ans de prison.