Joint hier au début de l’après-midi, le coach Hidoussi a affirmé : «Effectivement, j’ai rencontré les responsables kabyles et nous avons négocié la résiliation de mon contrat.
Toutefois, nous n’avons pas trouvé d’accord. Leur proposition est loin de ce que je réclame et c’était impossible que j’accepte une telle proposition. Je n’ai pas d’autres choix que de saisir la FAF et la FIFA pour réclamer mes droits. Il y a des lois qui régissent les relations de travail et je saisirai ces instances pour réclamer mes droits», a déclaré Hidoussi.
«Je n’ai pas demandé des indemnités jusqu’à la fin de mon contrat»
Par ailleurs, des informations ont circulé que Hidoussi veut avoir des indemnités jusqu’à la fin de son contrat en 2018. De son côté, le coach kabyle a nié catégoriquement cela. «C’est faux, je n’ai pas demandé des indemnités jusqu’à la fin de mon contrat qui expirera en 2018. J’ai demandé une somme que je ne peux pas dévoiler mais qui est loin de celle qui m’a été proposé par les dirigeants kabyles», a précisé le technicien tunisien.
«Je n’ai pas souhaité en arriver là, mais…»
En dépit qu’il compte saisir la FAF et la FIFA pour avoir ses droits, toutefois Hidoussi ne voulait pas en arriver là. «J’ai travaillé à la JSK pendant quelques mois et je ne voulais pas arriver à cette situation de saisir la FIFA pour avoir mes droits. J’aurai souhaité trouver une solution à l’amiable, toutefois on voulait que je résilie mon contrat pour une somme inacceptable».
«Je dirigerai la séance d’entraînement de demain (aujourd’hui, ndlr)»
N’ayant pas résilié son contrat, le coach Hidoussi se considère toujours entraîneur de la JSK. Il affirme qu’il sera présent à la séance d’entraînement de ce matin. «Tant que je n’ai pas résilié mon contrat, je suis toujours en poste. Je serai au stade demain (aujourd’hui, ndlr) pour diriger l’entraînement», a conclu Hidoussi son intervention.