Par le biais d’une publication postée sur la page Facebook officielle du centre d’information et de coordination routière de la Gendarmerie nationale, « Tariki « , les services responsables ont fait savoir que les images qui circulent sur la Toile quant aux plaques d’immatriculation ne correspondent pas à la loi algérienne. En effet, ces images ont été massivement relayées par les internautes.
De ce fait, la Gendarmerie nationale a mis en garde contre le recours à ces plaques d’immatriculation. Dans le détail, toute personne ayant recours à des plaques d’immatriculation non conformes à la loi algérienne sera sanctionnée. Donc vous l’aurez compris, les plaques d’immatriculation doivent correspondre aux données de la carte grise.
Par le biais du même communiqué, la Gendarmerie a rappelé que toute infraction à cette règle expose le principal concerné à une peine d’emprisonnement de deux mois à deux ans. Cela outre une amende à hauteur de 50.000 DA, selon l’article 77 de la loi 14-01. On précisera que la valeur de l’amende peut atteindre les 150.000 DA. Et le véhicule pourrait être confisqué. En tout cas, il s’agit de ce que rapporte le quotidien arabophone El Bilad.
Plaques d’immatriculation en Algérie : voici les explications de la GN
Dernièrement on parle beaucoup d’une nouvelle forme des plaques d’immatriculation. De ce fait, la GN a donné plus d’explications aux conducteurs. Dans le détail, cette mesure concerne « les propriétaires de véhicules porteurs des cartes et plaques numérotées dans les graphes 22 ou 33 « . En effet, ceux-ci doivent remplacer ces plaques par d’autres qui incluent l’année de première mise en circulation. Et ce, avant le 31 décembre 2023.