Du 1er juin dernier à ce jour, plus de 3800 hectares de superficies d’espaces boisés, dont une partie est constituée de plantation d’oliviers, ont été détruits par des incendies dont il s’avère que parmi eux ont été déclenchés de façon préméditée.
Dans un reportage diffusé, lundi, la chaine 3 de la Radio Algérienne signale que nombre de ces sinistres sont souvent le résultat de gestes inconscients soulignant, toutefois, que certains parmi eux ont été provoqués délibérément.
Approché, le directeur de la faune et de la flore de la direction générale des forêts, Abdelkader Benkhira, indique que lorsque des incendies ont été sciemment provoqués, une procédure judiciaire est aussitôt diligentée par les services de police pour retrouver et châtier les personnes qui s’en sont rendues coupables.
Celui-ci signale que par le passé, les auteurs de pareils actes « criminels » se sont vus condamnés à des peines d’emprisonnement variant de trois à cinq années .