La fondation, crée en 2006 par le milliardaire Anglo-soudanais Mo Ibrahim, établit chaque année un classement Africain de la gouvernance globale. Celle-ci est mesurée selon quatre principaux critères : l’application de l’État de droit, le respect des droits de l’Homme, le développement humain, ainsi que les opportunités économiques. Chaque critère est ensuite subdivisé en plusieurs sous-critères, permettant ainsi, de calculer le classement de chaque pays en Afrique.
Sur l’ensemble des 54 pays du classement, L’Algérie est placée à la 41e position, un net recul comparé au classement 2015, où l’Algérie a été classé en 22e position, enregistrant un score total de 52.9/100.
Classée en 34 e position, l’Algérie, et ainsi dans le bas du classement en matière de participation et de droit de l’Homme, quant au classement de l’Algérie selon l’égalité des sexes, l’Algérie occupe la 35e place.
Par ailleurs, L’Algérie figure en 33e position du classement des pays africain en termes de qualité de l’environnement des affaires. Néanmoins, l’Algérie est classée en 6e place dans la catégorie du développement humain, et ce, en grande partie grâce à son classement dans la sous-catégorie aide sociale, où l’Algérie à occuper respectueusement la 8e place. indique le rapport de l’IIAG .