Par Kamel Lezoul,

Or, tout le monde sait que le club est criblé de dettes. De ce fait, je n’ai pas de garantie pour mon argent. Avec les autorités locales et de wilaya, j’ai tout tenté pour trouver une issue adéquate. Malheureusement, rien n’a été fait, et je me suis retrouvé seul à me battre. Ce qui est fait est fait, à présent, il faut trouver des solutions à ce problème de dettes, et je souhaite de tout cœur que les autorités locales et de wilaya prennent carrément ce problème en charge, en épongeant les dettes. Je répète encore une fois et officiellement que je suis prêt à revenir et à prendre les destinées du club, en mettant deux milliards de centimes sur la table, à la seule condition bien sûr que les dettes soient totalement épongées. Personne n’ignore que le football ne peut fonctionner sans le nerf de la guerre », conclura le président démissionnaire.